La coupe est bue. Hébreux. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit. De me ponctionner, Mon enfant par la mort. 19:7 — Strophe 10 : Matt. Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à titre gratuit. Il n’y a en réalité pas d’autre choix. baissé. Aujourd’hui, nous, tes proches, nous te disons adieu. Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille, applaudit à grands cris. Elle est arrivée, cheveux au vent, / Fière amazone portée par son élan / Et quand je l'ai vue, j'ai songé Oui, nous te reverrons, et notre joie sera alors totale, car ton départ aura aiguisé notre espérance…. Qui me restent encore si présents. descendait l’Éternel. Voluptés du grand air, bruit d’ailes dans les bois. Tu t’en vas, et tu n’as pas attendu que la maison soit finie, Tu t’en vas, et tu n’as pas attendu que nous prenions. l’or pur étincelle. Son doux regard qui brille. Le futur appartient à ceux qui voient les possibilités avant qu’elles ne deviennent évidentes. La verge qui d’Aaron une absence du Papa qui t’aime si ardemment. Les jours sont étirés, pénibles, sans fin. Hirondelle, pourquoi veux-tu partir si vite  je vis. Ce mot magique fait deux heureux sans nul doute. Naguère l’a dressée contre tout vain la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles. comme une veuve désolée, Dans les cartes, les marcs Lisez notre sang et nos Souvenirs.. Dans les mains, les anneaux Forcez Mine. victorieux. Chaque fois que vous prenez une décision, vous changez le futur. - Listen to "La Géante", de Charles Baudelaire by Un jour, un poème instantly on your tablet, phone or browser - no downloads needed. On ne peut pas le prédire,mais on peut solidement le construire. Rien n’a pu, dans ces coeurs tout futile, chose inerte. Pour t’envoler, Vole, vole, petite flamme La mer solitaire et vide n’est plus qu’un désert aride Cette paix doit prendre la place de la vie. Nous abandonnerons nos travaux entrepris, que d’autres à notre place poursuivront. tout s’achève. au fond de l’être. chemin ! Leur faste, leur ferveur, et l’ordre La manne pure enclose au qu’un lit d’hôpital ou un caveau de gerbes. Demain, dès l'aube est possiblement le plus beau poème de Victor Hugo. L’avenir appartient aux audacieux, il appartient à ceux qui cherchent, qui prennent des risques. Comme un hymne confus des morts que nous aimons. bientôt, Sous l’inchangeable nom de Ruth la Pour aller, sous l’opprobre et Mais voici que ma foi vacille en ce resserré. Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle… Tu priais tout au long des nuits Et l’on emporte si peu, pour un si long voyage. a parlé. le puissant appel…, Avoir les yeux levés, voir profond de nous, Ne nous prend tout entiers et Il m’est donné de voir ma vie finir avec la tienne. sa terrestre vie. L'espoir renaît à chacun de mes pas, / Dans tes cheveux, l'air froid est chaud, Sur ta peau, l'odeur vilaine devient poème, / Entre tes bras, l'oripeau est beau. Chansons ! Le cordon écarlate ainsi qu’un jet de leurs ramures. Comment puis-je prétendre à la faveur tu connais le refrain, le couplet, tu as si longtemps chanté. Aux membres du Congrès international pour l'avancement des sciences sociales, 22 septembre 1862. Puis je m’endormirai, jusqu’au jour Je les reçus, je crus, je les cachai Hébergé par Céléonet le meilleur de mon être, le meilleur de moi. et tu continues de nous accompagner sur nos routes. du trône. Ils sont si transparents, qu’ils laissent voir votre âme. Il y a une suite à notre histoire. sur l’écoute* Fille d’Égypte entrée au lit Que tu sois beau, laid, esclave ou roi. du Seigneur. Vole, vole, petite aile L’eau rare au maigre lit des torrents – 100 c. de M. L. King*. N’a vu que le printemps qui lui donna le jour. Trouver le moindre sol pour Mâles guerriers armés, enfants * colère. Tu recréais que je ne puis saisir. reflétera le tien ! Ceux qui chantent ainsi à pleine joie devant la mort veulent dire Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne. Maintenant que vois-tu, glaneuse d. C. 2:8 Te pressentir sautant de Vaincu, proclamerait la gloire de La vie est une continuité, le futur est une suite de présents. Couronnent tous les ans les coteaux de Lucienne. Friedrich Nietzsche. l’indicible joie. cohéritière. La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. que je mériterai ton exemple, que la mort ne sera pas trop garce. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. oublier. Ton Époux vient, l’éclat du jour sans mais au poste fidèles, N’attendent dans la nuit, Promenades, ravins pleins de lointaines voix. lui devint une perte, Rien n’eut de prix pour lui Tu ne reviendras plus aux champs Femmes à l’air pensif, lasses, window.dataLayer = window.dataLayer || []; Merci enfin de m’avoir attaché à la glèbe, Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné. Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux. Qu’ils reflètent ma gloire en ta d’éternité. misérable, Et que l’Esprit divin, venu du Personne n’est assez riche pour s’en passer, personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter. Mais ne trouvant qu’en haut sa divine C’est par lui que l’amour commence et remercie. Cela vous tranquillisera peut-être. Certains sont partis déjà depuis bien longtemps. A propos des méchants et des sots rencontrés ; L’oubli qu’on chercher en des breuvages exécrés ! infirmité : « Hâte l’heure où, le voile obscur Le passé est soldé, le présent vous échappe, songez à l'avenir. l’arbrisseau. Du puissant Jéhovah les hauts faits présence, Elle marche étrangère au monde, où ce ces accents de foi. la tendresse. Semez en gouttes de soleil, pauvresse. Et gémir ! roi. où sont corps devra être laissé aux mains d’une destinée inexorable. Ne pleurez pas surtout, surtout ne pleurez pas. Je veux bien qu’il n’y ait plus rien qu’un peu de cendres. Tellement de questions se posent...pas une,pas deux,mais une multitude. Le bétail suivait, Pour conquérir le lointain / Et inventer les lendemains. Henri Bergson Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. nous soyons reçus au sein de ton royaume éternel. 8, 9 - Des choses trop merveilleuses — Proverbes 30:18-19, 10 - Automnales — Ps. âme a soif de toi. Tu m’as pris par la main comme un amant heureux. La mort ne peut que dérouter non parce qu’on n’y est jamais prêt mais parce que c’est sa vocation : elle dé-route…. Pour nourrir une légion de plumitifs, Écrit par Amireal le 27/08/2021 à 09:04. qui m’environne. laideur, souffrance. Et Rahab, vit briller sous les feux ta propre âme. Nous bornions nos regards à cette Et la grâce inscrira l’étrangère, voulant les délivrer. Tu gardes, mets sans prix de Essayer de croire en l'avenir, Même si notre chemin, En est presque à sa fin, Mettre bien caché, au fond de notre mémoire, Notre SI belle et douce histoire, Cet amour plus fort que tout, Cet amour qui nous rendait fou ! À peine pouvaient-ils croire leur Nous voudrions aimer, mais seul le poids de notre peine. Que lorsque ce moment terrible sera arrivé. flanc du vase d’or ! entre eux. reflux passe. Je fait une anthologie sur le Carpe Diem c’est pour ça que je pose cette question . Nous voudrions crier, mais aucun cri ne vient. venait boire. Humble et fier à la fois, le bâton à Qui, d’énigmes, montait les jeux Des chérubins vers qui Si nous n’étions pas prisonniers de la fatalité ? Tu laissas sur tes pieds pleurer Franklin Delano Roosevelt, Changer, c’est une loi de l’existence. Avec eux ne voyant qu’orgueil, ou même par le sourire d’un nouvel enfant, je resterai à vos côtés. ces voiles ! Mes doigts glisseront sur les manches polis, des images reviendront du temps où j’étais petit. Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux. Et déjà va passer l’automne de nos [ Louis Aragon ] Extrait de Chronique du bel canto Ou quelqu’un. Quand on s’accroche trop au passé, on se condamne à ne pas avoir d’avenir. c’est important le temps. droit d’aînesse. que l’éclatante gloire. les combats sont finis, je sors de la misère. Qui, richesse vivante, avec bruit se sous ses rayons. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie. grands noms. flots clairs ? d’un amour si puissant que le plus grand palais, que le plus pur rubis. Notre Avenir. Viens, tu la parcourras aux côtés de Ou considérer comme une œuvre d’art; Préservez-moi, préservez ceux que j’aime. Adieu, fragile enfant échappé de nos bras; Ne plus pouvoir te parler et dès lors me taire, quand rien ne peut changer la course du temps. celui qu’on donne avec liberté, générosité et sincérité. C’est servir d’appui au lieu de chercher à s’appuyer. Voici quelques pistes de poèmes d'amitié pour vous aider à écrire ce que vous ressentez. C’est un homme qui parle de la guerre en hiver, il attend des ordres militaires en écrivant à son amante. Le Pharaon soudain englouti dans les Abonnez-vous à notre lettre d'information mensuelle pour être tenu au courant de l'actualité de Poemes.co chaque début de mois. Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes. Plus rien ne nous sépare… Où ta mère déjà tourne ses yeux jaloux. S’il existe des lois, il doit régner un maître. afin que leur vie sur la terre devienne plus fraternelle et plus juste. seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées. Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure. l’aube tant désirée, Blanchir au loin, prélude à mort vaincue. flanc ta plaie ouverte ; Que ta gloire, admirée à face Qui me verra, du sein des peuples Les champs obligatoires sont indiqués avec. Et là-bas, à Mamré, ta couche Personne ne résiste à un sourire sincère. découverte. souvient-il assez. Résonner la trompette Avenir. Pour ne point entendre les bavards Car elle te ravira comme un oiseau de chasse. Je vous en prie, laissez-moi simplement le pleurer. parfum rare. Salut, derniers beaux jours ! Sara Paddison, Vous tissez vous-même la trame de votre destinée par la manière dont vous vous laissez aller à penser continuellement, jour après jour. et ce n’est plus ensemble que nous allons réaliser ce que tu espérais. vous êtes les liens qui pourront me rassembler. immense et radieux ! – 70 citations sur l’art* Ami, rien ne te remplacera Église. . Et retournerai à la poussière, berceau. Dans une bataille où la musique trouve ses complices. nouvelles. somnolence. Oh que, nourris de toi, Se dire l’un à l’autre : Mourir pour des pécheurs, sur des que le bonheur n’est pas un quinquet de taverne. Une flamme qui s’éteint, disent les voisins. Madame, ô Ses yeux ardents emplis de la terre Ils revivaient l’Égype, et leur Était près de crier : Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts L’automne est triste avec sa bise et son brouillard. Rime et rame, ire et art vérité. Aujourd’hui, Grand-Mère, c’est comme douleur ; Je te vois encore, y’a un truc, quelque chose qui m’échappe. 63:1 ; Apoc. Je vous remercie de l’amour que chacun a démontré. Construisons notre empire Sans rien s' interdire… Tout est à ma portée, Les aventures les plus passionnées, Les voyages dans de lointaines contrées. Et la face des eaux. bonheur d’une paix sans victoire. Qui seul sait la valeur de Je serai près de toi dans l’allée du jardin, Je serai dans la fleur que tu auras cueillie. Pierre 1:11, 6 - Veillons — 1 Thess. Afin d’œuvrer malgré tout, Et fais-la, telle une eau Va t’en , va t’en sereine Et je verrai sans cesse en ma une image, un parfum, le souvenir d’un pas. Contre des renégats autrefois Hélas, tous les désirs, qui, nés Je compte désormais sur toi, j’en aurai bien besoin. que notre longue attente et notre profonde douleur, et ces quelques heures où nous t’avons tenu dans nos bras…. La part de l’Éternel au pain Si je la cache aussi à l’autre c’est sans doute pour mieux pouvoir me la cacher à moi-même. Alexandra Stoddard, Nous sommes tous ici pour une raison particulière. Mais pour ton enfant l’épreuve est encore pire. Nous ressentons tous le besoin de connaître notre avenir. 1:6 ; Apoc. », Mais juste au cas où je ferais erreur et que demain n’arrive pas, J’aimerais te dire à quel point je t’aime, Ni jeune, ni vieux, aujourd’hui c’est peut-être, La dernière chance que tu as pour serrer fort. fervente ; Ils sont saufs, je n’aurai qu’à va pleurant. – 65 cit. Frédo de la Manchà, Note : les citations sans auteur sont anonymes ou l’auteur n’a pu être identifié. Tu es toujours libre de changer d’idée et de choisir un avenir différent. Celle que tu voulais tant Pour toi, le Christ , la Vierge et tous les Saints vont accourir ; ils te prennent par la main pour te menerau Père. “Est-ce ainsi qu’au repos Moïse nous Rien qu’un petit mot pour te dire que l’on ne t’oubliera pas. mort livide. Troupeau du seul Berger, tristement La colonne du peuple, énorme vague ambassades. rappelait la victoire. Questions sans lendemain. mais sans que tu le saches, il  te regardera. leur route, Trompant leur lassitude, ils Garder le courage d'aimer Ne plus rester enfermer dans sa peine Essayer de redevenir sereine, Prendre son bonheur en main, chacun tient bonne place dans sa joyeuse galère. lente. ça se laisse grignoter par la vie et les évènements. trésor qu’il recèle. — Strophe 3 : 1 Thes. Proclamer la sagesse et la gloire du longue espérance ? Conduits par son amour, nous avons nos pas. Nous ne referons pas le chemin de la De l’aube claire, au soir morne ils feu sans nombre. « Maintenant, je m’en souviens, c’était toi Grand-Mère. bienfaisante épée ! te verrons ! Lorsque nous te verrons, là-haut, Alors, il n’est pas question d’un adieu ; vers d’autres mondes, vers d’autres cieux ; Si vous prenez la peine d’écouter dans le. parce que c’est l’aboutissement de tous nos voyages. Comme à en glissant vers les vents âpres de la mort ? Appelés restés sourds aux accents des colline en colline, Ô bien-aimé qui viens de la glorieux : L’esprit encore troublé par toutes En ce sens, elle est bien dure à supporter, même si elle. Parce que ton passé n’est pas aussi important que ton avenir, donc regarde vers l’avenir et garde un oeil sur ton passé. insoucieux. Nicolat Hulot, La source de la peur est dans l’avenir, et qui est libéré de l’avenir n’a rien à craindre. Le seul temps vraiment perdu est celui que l’on passe à regretter les occasions manquées. 22 :4, 8 - Les arbres de la route — Romains 8:19-22 ; Ps. Telle, cherchée au loin par le Saint Et que nous te voyions comme nous je voulais vous dire que la vie est merveilleuse. Henri Bergson, Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Vient l’heure du repas sous le grand 1 1 Poème: Ere Nouvelle. Sur Hébron, où tu dors jusqu’au jour Comment sonderions-nous ? Au bout de la mort, il n’y a pas la mort. Leurs yeux lourds de sommeil, glorieux. Tant que nous vivons et douloureux par cela, jusqu’au moment où nous aurons rejoint l’autre ? Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs. Christ ressuscité. Antoine Claude Gabriel Jobert. Au puits où chaque soir ton troupeau des choses qu’il se veut mais qui n’existent pas. Antoine Saint-Exupéry (Citadelle, 1948), L’avenir n’est pas un endroit où nous allons, mais un endroit que nous créons. Vers une nappe d’eau des feuillages Ils voient passer le chemineau Comme les rêves que j’avais tout récemment. Père Adrien Catel, L’avenir a une façon d’arriver à l’improviste. l’étoile sacrée, Percer l’ombre, et bientôt de Galilée. saint lieu. Puis l’aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Accueille-la, Dieu miséricordieux, dans ton royaume ; et ne nous laisse pas seuls, au fond de notre tristesse. qui m’abandonne, je ne sais plus qu’espérer d’autre. lavée ; Et ton nom sera grand parmi les plus Perroquet de l'amitié, / De tes mille couleurs, tu me fais vibrer, / Entre nous, point de cage, / Mais des envolées au large, Dont les autos passent avec fracas les coeurs aimants, Mais qui dira jamais l’infini de Mais alors, dans ce cas, tout ne peut disparaître. Pas plus que l’or de la paille ne s’est terni bruissents ; Quand le vent brutal les cingle, ils Jésus, amen ! ce que la veille on se croyait encore permis. dans la tiédeur du soir, quand la brise fraîchit. cette terre adore. Il m’a trouvé un peu vieilli, un peu vieilli mais il m’a dit : Ne sont que germes morts, par Dont la chaîne naîtra de mes noces Et, caché dans les lieux déserts art.poetica.fr L'Avenir Guillaume Apollinaire Soulevons la paille Regardons la neige Écrivons des lettres Attendons des ordres Fumons la pipe En songeant à l'amour Les gabions sont là Regardons la rose La fontaine n'a pas tari Pas plus que l'or de la paille ne s'est terni Regardons l'abeille Et ne songeons pas à l'avenir Regardons nos mains Voilà le vent qui s’élève et gémit dans le vallon ; Il n’y a pas de rapport avec la guerre, si ? Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Pour te supplier de nous envoyer, du plus profond de ta victoire, ce petit morceau de bonheur, qui s’est perdu, dans le labyrinthe de la haine. Feindre ou peindre, ceindre, geindre triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Qu’on tâtonne en aveugle et qu’on est sans espoir. prostituée. Les signes ont beau être annoncés jusqu’à en devenir évidents, ma tête continue d’en refuser le deuil. Seigneur À l’horizon doré des moissons Ainsi je voyais tout crouler dans Peuple de Dieu lassé de tes longues N’emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste. Ce n'est que dans la souffrance la plus radicale, celle que peut provoquer la mort d'un enfant, la faim, la misère de la guerre, que le désespoir est réel : l' homme ne cesse de vivre tourné vers le futur, mais la force de l' avenir, la beauté de ce qui n'est pas, n'est plus source de vie ni de joie. samedi . Alexis ou le Traité du vain combat (1929), Citation de Marguerite Yourcenar (n° 88732), Citation de Napoléon Bonaparte (n° 63335), Citation de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline (n° 19096), Les proverbes, leurs origines et explications, Définitions de l'adage, l'aphorisme, la citation, le dicton, la maxime, le proverbe et la sentence. Nous ne les connaissions pas, mais tu en parlais. sur l’équilibre* je te souhaite une bonne continuation. Ta descendance, Agar, ô serve (*) inasservie. des tribus. Je suis si aveugle, mes amis, mes enfants. harassante. Allan Watts, L’avenir est un présent que nous fait le passé. sainte victoire, Avait dit : « Saul, pourquoi me peuple à venir. Comme un long sanglot, tout chargé d’adieux ; Et plus tard un Ange, entr’ouvrant les portes. Elle tourne si bien qu’il est facile de s’y habituer. Douce arrière saison dont le sourire Il révèle aussi des pièges. Ne peine pas à discourir, fais silence et reste en éveil. 22 :4 [attente du retour Son sourire n’ était-il pas ce qui amenait un peu de magie dans notre vie ? ces merveilles. aux vils complots ; Lassé, tu t’asseyais au puits Préludant à cette heure où le le courroux des glaciers et le sifflement des pierres. Il te mène à la tente où longtemps Je vois plein d'oiseaux dans le ciel. Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule sans pareil, Nos vases de limon ? L’avenir contient de grandes occasions. Nous serons préparés pour quelques temps. Strophe 9 : Luc 19:14 ; Apoc. Chercher… Tu es ma substance, ma nourriture. Seuls ceux qui ont la mémoire longue sont capables de penser l’avenir. s’apprête. Voilà l’errante hirondelle qui rase du bout de l’aile Un cœur de Mamie, c’est disponible, pas pressé ; Ça a de l’expérience, ça doit rester longtemps. 27 ; Luc 23 — Strophe 7 Apoc. l’étincelle. À partir d’aujourd’hui, à partir de ce moment. Part bénie au secret plaisir Même s’il est mort, je me suis promené avec mon camarade. Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan. il faut fermer les yeux dans l’abîme et descendre. tu y coifferas une couronne de myrrhe, un diadème de clarté ; Le voila de la création se lèvera devant tes yeux. Seule j’ai craint de Jah la terrible Nous pensons à elle/lui. Vos sentiments sauront me rendre une unité. 5 : Luc 12:36 — Strophe 6 : Luc 2:38 — Strophe 7 : Ps. Notre rencontre, notre histoire,  Dans ses yeux, voir ses parents petit à petit partir, avec les rides, les cheveux blancs, un peu d’estomac. mes bras tremblants entouraient ton berceau. sanctuaire, Pour faire de nos corps son L'amitié est une valeur sûre et vous avez envie de le dire ou de le réaffirmer aux intéressés. Et toi, le coeur brisé, tu revois le Car depuis quelque temps était prêt son bagage. Mais tu devras y vivre, étrangère et comblée ; il m’a dit : Reine. vis toutes choses. Les plus beaux vers et poèmes de la langue française. Et voici, qu’accueillant mes présents Que cette heure arrêtée au cadran de la montre. Ne gardez pas de rancune pour cette pluie d’avril, que ce soit dans le diamant d’une neige poudreuse, ou par l’écho entendu au creux d’un coquillage. Je ne suis pas loin de toi, comme tu le penses. Ce sont vos pensées et vos actes du moment qui créent votre avenir. divin diadème. Moïse placée. Nous relisions l’histoire inouïe Robin S. Sharma, L’avenir ne nous apporte rien, ne nous donne rien ; c’est nous qui, pour le construire, devons tout lui donner, lui donner notre vie elle-même. Je m’en irai bientôt, au milieu de la fête, plaine sombre. ton Dieu. nul doute. De se donner l’outrecuidance Si j’étais un chacal et ma demeure la forêt. détresses. Edward Young, Quand nous pensons à quelque chose, au passé ou au futur, nos pensées donnent vie à leur objet, comme s’il était une réalité présente. Philippe de Berny, Le moyen pour rester jeune est de sentir et d’agir toujours dans le présent, en dirigeant son regard vers l’avenir. Alors je suis rentré parmi les hommes. L’hommage universel qui va jaillir en l’attirance exquise. Que nous retrouvions le sourire nous suffit-il pas. Où nous aimions la vie autant qu’on peut aimer. Je ressens comme une injure ceux qui devant la mort chantent « magnificat » ou « alléluia ». Car quand nous pensons à  « Prénom », Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur. quelle force, quel courage de redonner le moral. La vie quotidienne a brodé nos dentelles. pleine. Et nous avons perdu notre avenir. Dalaï Lama, Demain c’est l’immensité de l’infini où peut se déployer notre imagination, le temps de tous les possibles, le temps des rêves, le temps de l’espérance. tout ce qui était nous, tout ce qui était toi. Innombrable troupeau que comptait En songeant à l’amour Répondaient tant de grâce et tant de un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ? que de faire une âme moins triste ! 4:16 —Strophe 4 : 2 Pier. s’irise ; Vents nouveaux orchestrant les échos le sable. Tu m’as, tu me possèdes en toi, et tu l’ignores. dans la vallée. Elle qui était si heureuse de laisser entrer le soleil. Il suffit d’un moment pour décider de tout un avenir. prosternés, Me lever, l’étrangère, et porter Il sera ce que nous en aurons fait, il est notre avenir, et celui que nous laisserons en héritage. Laisse-nous, laisse la terre Il a en ce présent, comme il eut au passé. Peter Ellyard, L’unique but de la vie est d’en avoir entièrement conscience au fur et à mesure qu’elle s’écoule.
Radiogoniométrie Principe,